L’eau de vie—extrait

Ceci est ma traduction, vu qu’il n’y a malheureusement pas de traduction officielle en français, et que l’expérience traitée est trop importante pour la garder pour moi seule.

 Un traité sur l’urinothérapie

 John W. Armstrong

 Chapitre VI – Croissance et cancer (?)

(Voici un extrait du chapitre VI. J’ai choisi de passer directement aux cas cliniques présentés par John W. Armstrong et de laisser le lecteur libre de se procurer le livre lui-même si la curiosité le pousse.)

 « Je vais maintenant présenter le cas de Mme R. (1923). Elle avait une quarantaine d’années à l’époque. État de santé : anémique, taille inférieure à la moyenne, poids inférieur à la normale, grosseur de la taille d’un œuf de poule dans l’un des seins. Diagnostic de cancer posé par le regretté Dr Rabagliati, une opération immédiate fut préconisée, mais elle refusa catégoriquement. Elle jeûnait et buvait quotidiennement 1 ½  litre d’eau froide du robinet. Son mari la frictionnait de la tête aux pieds avec sa propre urine deux heures par jour, et des compresses essorées étaient placées sur ses deux seins jour et nuit. Nuit. Guérison en dix jours. Retournée chez le Dr Rabagliati le douzième jour après sa dernière visite, il n’a constaté aucune anomalie au niveau du sein. L’anémie avait également disparu et la patiente avait recouvré une parfaite santé.

Voici un autre cas (1925) : une femme d’âge moyen. Excroissance de taille, localisée près de l’aisselle. Deux chirurgiens ont conseillé l’opération, mais ont accepté la suggestion de sa fille : la patiente pourrait se reposer et s’alimenter très légèrement avant d’affronter l’épreuve. L’opération a donc été programmée à l’hôpital une semaine plus tard. Cependant, comme la fille de la patiente avait elle-même tiré un grand bénéfice du jeûne urinaire, elle a convaincu sa mère d’essayer la solution. J’ajoute que deux jours après que la patiente aurait dû se présenter à l’hôpital pour l’opération, le médecin de famille est venu. Il était indigné de voir son avis bafoué de cette manière « indépendante » ; mais après avoir examiné minutieusement la patiente, il a constaté que son état était tout à fait normal ; il n’y avait plus rien à dire. Par la suite, il a fait appel à ses collègues, qui, pour le dire gentiment ont été extrêmement étonnés et, étant humains, ont refusé de se reconnaitre satisfaits. J’ajoute simplement cette partie de l’histoire pour montrer que la patiente avait été examinée attentivement après sa guérison. Elle est, au moment de la rédaction de cet article, bien plus âgée et en bonne santé.

On peut maintenant citer le cas d’une femme assez jeune qui avait développé une tumeur au sein. Je le cite car le problème a disparu dans les plus brefs délais que j’aie jamais observés pour ce qui aurait pu être une tumeur maligne ou simplement une glande mammaire enflée. Je pense néanmoins que si la patiente s’était confiée à des médecins, ils auraient conseillé une opération, comme ils l’ont fait dans des centaines de cas similaires. En la voyant, je lui ai immédiatement recommandé un jeûne avec ses propres urines, plus de l’eau du robinet et des compresses d’urine – en bref, la procédure habituelle que je recommande. Au bout de quatre jours, la tumeur avait complètement disparu.

 Et maintenant, je vais mentionner le cas d’une femme qui est venue me consulter en 1927. Il est instructif car il montre une fois de plus que les opérations ne traitent que les effets et n’éliminent pas la cause de la maladie. La dame en question avait 45 ans, était corpulente et présentait une grosseur au sein gauche, le droit ayant été retiré deux ans auparavant pour une tumeur similaire. Elle jeûna et fut traitée selon ma méthode pendant dix-neuf jours, puis me rapporta que la grosseur avait complètement disparu. Comme elle était encore trop charnue, je lui conseillai de poursuivre le jeûne. Le 28e jour, je l’examinai : aucune trace de grosseur ne fut décelée et je constatai une femme beaucoup plus jeune et beaucoup moins matrone.

 Le cas suivant montre qu’une seule et même méthode peut guérir des affections apparemment sans lien entre elles. A. me consulta avec un sein droit gonflé, au centre duquel se trouvait une grosseur vilaine et suspecte. Elle présentait également deux gros ulcères sous l’aisselle. Son médecin de famille l’avait invitée à être hospitalisée en observation, mais elle refusa, vu que sa mère avait accepté une invitation similaire, avait été opérée et enterrée. De plus, elle-même, souffrant d’une péritonite chronique, on lui a retiré l’appendice, mais sans guérir sa péritonite. Elle a commencé par jeûner quatre jours avec mon régime, mais a dû interrompre le jeûne pour satisfaire l’insistance de sa famille. Néanmoins, après trois jours, elle a repris le jeûne, et une deuxième fois pendant dix-neuf jours. Dès le dixième jour, une nette amélioration a été constatée, et à la fin du dix-neuvième jour, il ne restait plus aucune trace de la grosseur sur son sein ni des ulcères à l’aisselle. Il n’y avait même pas de cicatrice. Mais la péritonite n’avait pas disparu (peut-être à cause de tissus cicatriciels résultant de l’opération de l’appendice) ; un peu plus tard, elle a donc jeûné pendant trente-cinq jours. Cela a eu l’effet escompté.

Ces fiches de cas devraient servir à démontrer que la Nature est une Guérisseuse bien plus efficace que les méthodes soi-disant scientifiques impliquant des mutilations. Si les personnes observant des tumeurs suspectes sur leur corps recouraient immédiatement aux méthodes naturelles que j’ai décrites, la Nature ne les trahirait pas. Mais ceux qui attendent la dernière minute pourraient payer le prix de leur procastination.

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Jeune homme de 28 ans, en 1920. On lui a donné 3 jours à vivre. Diagnostics variés : cancer de l’œsophage ou maladie vénérienne. Guérison complète. Patient toujours en vie.

 Femme de 62 ans ; diagnostic de cancer de l’intestin. Colostomie conseillée par les professionnels, mais refusée. Pesait moins de 40 kilos et dépérissait rapidement. Guéri en 3 semaines. Âgée de 84 ans au moment de la rédaction de ce document.

 Femme de 42 ans ; diagnostic de cancer du sein. Excision conseillée, suivie d’un régime strict ; seul espoir de guérison offert par les professionnels. Patiente a refusé l’opération. Guérison complète par la méthode du jeûne urinaire. Toujours en vie et en bonne santé après 21 ans.

 Femme de 40 ans. En 1935, elle a développé un type de tumeur parfois appelé « cancer de la corde ». Les chirurgiens ont insisté pour une excision immédiate, mais n’ont offert aucun espoir de guérison définitif, affirmant que la récidive et la propagation de la tumeur étaient pratiquement inévitables. Guérison par le jeûne urinaire, etc., en 23 jours. Non seulement elle est toujours en bonne santé, mais elle paraît jeune et belle.

 Le lecteur trouvera peut-être intéressant de citer les propos du regretté Dr Rabagliati – ce médecin franc, éclairé et ouvert d’esprit – concernant le traitement du diagnostic du cancer et de la croissance par les méthodes que j’ai décrites.

« J’ai examiné des femmes dont les soins habituels auraient nécessité l’ablation d’un ou plusieurs seins. Ces heureuses mortelles ont décliné mon avis, suivi une thérapie urinaire et sont revenues dans mon cabinet sans même une cicatrice laissant présager la guérison d’une « malignité incurable ». Nombre de ces femmes ont constaté que leur ou leurs nodules disparaissaient en deux semaines, certaines en seulement quatre jours ; Tout cela suggère que la plupart des tumeurs ne deviennent malignes qu’après intervention chirurgicale et médicamenteuse, et qu’à ses débuts, le soi-disant Roi des Terreurs… est un problème très banal lorsqu’il est traité rapidement… de la bonne manière – en introduisant furoncles, ulcères, tumeurs et cancers dans la circulation sanguine… « Si, toutefois, un profane affirmait et présentait mille cas de guérison sur une seule plateforme, je doute que cela impressionnerait ma profession – même les affirmations concernant l’amélioration de l’état des victimes du cancer sont ouvertement ridiculisées ou ignorées. Il est triste de constater que ma profession prospère grâce à la maladie et à la propagande inhumaine des alarmistes officiels, ainsi qu’à la promesse d’un lendemain, d’un autre jour, ou de jamais, pour les maladies que ma profession et d’autres ont si longtemps exploitées. »

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